À l’occasion du 8 mars, journée internationale des femmes prolétaires, les militants et militantes révolutionnaires ont fait vivre le féminisme prolétarien. Dans les quartiers ouvriers, en banlieue des grandes villes, de nombreuses actions ont été menées par les Jeunes Révolutionnaires. À Lyon par exemple, plusieurs tags ont été réalisés, des banderoles accrochées ou encore une grande affiche collée. D’autres actions ont également été réalisées à Caen, Saint-Étienne, Grenoble ou encore Nantes avec des tags et déploiements de banderoles. Les militants et militantes révolutionnaires se sont également rendus aux différentes manifestations organisées pour porter une voix révolutionnaire, sans concession, pour affirmer clairement que seule la révolution prolétarienne émancipera les femmes, pour revendiquer que la lutte des femmes fait partie intégrante de la lutte des classes, pour crier haut et fort que le féminisme bourgeois n’est qu’une vaste fumisterie et que seul le féminisme prolétarien émancipera les femmes de la classe ouvrière. En ce sens, les militantes des « Noyaux pour la construction d’un Mouvement Féminin Prolétarien » ont prononcé dans différentes villes un discours combattif clamant que « l’émancipation ne peut être l’œuvre que des femmes des classes opprimées et non une concession de ceux qui les oppriment. C’est le vrai sens du 8 mars. »
Quelques photos des actions menées à l’occasion du 8 mars :
À Saint-Étienne, déploiement d’une banderole sur le parcours de la manifestation et réalisation d’un graffiti :
À Lyon, déploiement d’une banderole, réalisation de tags et accrochage d’une grande affiche dans un quartier ouvrier de la ville, lecture collective d’un article de La Cause du Peuple à propos du 8 mars et participation à une manifestation avec accrochage de banderole sur le parcours :
À Caen, déploiement d’une banderole et participation à la manifestation :
À Grenoble, réalisation d’un tag :
À Nantes, déploiement d’une banderole :
